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 Mythes - Les Dieux Païens

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Dieu
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est mort



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MessageSujet: Mythes - Les Dieux Païens   Mythes - Les Dieux Païens EmptyVen 1 Mar - 2:07



Les Panthéons

Présents depuis les débuts de l'humanité, on recense des centaines et des centaines de religions polythéistes à travers l'histoire du monde, cependant, ce ne sont pas juste des inventions primitives ou des cultes impies, c'est effectivement la réalité, il existe des dieux, des tas et des tas de dieux. Bien sûr, ceux-là ne sont pas non plus aussi puissants que l'était le Dieu Unique, mais ils sont aussi éternels et omniprésents que lui a pu l'être, du moins, quand ils ne prennent pas forme humaine. Faîtes tout de même attention, ils ne sont pas tous très agréables...

Zeus
feat anthony hopkins
LIBRE
Odìn
feat hugh laurie
LIBRE

Anubis
feat oded fehr
LIBRE
Ganesh
feat guillaume canet
LIBRE

Mithra
feat william moseley
LIBRE
Hunab Ku
feat shannon leto
LIBRE

passez votre souris sur les encarts !


Dernière édition par Dieu le Ven 11 Oct - 15:59, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: Mythes - Les Dieux Païens   Mythes - Les Dieux Païens EmptyMar 12 Mar - 9:29



Zeus


♦ Leader.
♦ Fort.
♦ Déterminé.
♦ Ancien.


Je me nomme Zeus et j'ai plusieurs millénaires à mon actif. Je suis l'époux d'Héra, ma soeur. Je suis un Dieu Païen, j'appartiens donc au groupe des Mythes. On me confond souvent avec Anthony Hopkins, mais demandez plutôt à TBE.
♦ Coureur de jupons.
♦ Infidèle.
♦ Prétentieux.
♦ Narcissique.


L'histoire.

Zeus (en grec ancien Ζεύς / Zeús) est le roi des dieux dans la mythologie grecque. Il règne sur le Ciel et a pour symboles l'aigle et le trait de foudre. Fils de Cronos et de Rhéa, il est marié à sa sœur Héra. Il est le père de plusieurs dieux et de très nombreux héros. La théogonie la plus consistante est celle recueillie par Hésiode (VIIIe siècle av. J.-C.), contemporain d’Homère qui a sa part d'invention. Zeus est né du Titan Cronos et de sa sœur Rhéa, et il est le dernier-né de leurs six enfants selon Hésiode. Cette descendance sera considérée comme la branche olympienne par opposition à celle des Titans. Cronos, aussi tyrannique que son père, par crainte de la prédiction de ses parents, Ouranos et Gaïa, qu’il engendrerait un rival qui régnerait à sa place, avalait ses enfants dès leur naissance. Zeus dut très vite échapper à son terrible géniteur; et sa mère, conseillée par sa propre mère Gaïa, substituera au cadet une pierre emmaillotée. Emmené en Crète où il fut élevé par les nymphes du mont Ida4 dans une grotte secrète de Lyctos, le nourrisson fut allaité grâce à la chèvre Amalthée, et ses cris qui pouvaient trahir sa présence furent couverts par les Courètes qui dans leurs danses guerrières entrechoquaient leurs armes avec fracas.

Ses premiers gestes d’adulte seront d’évincer le titan cruel qui l’a engendré : Cronos, géant monstrueux et primitif comme Ouranos, avide de pouvoir sans partage, le père provoquant des avortements à coups de pied et le fils engloutissant à son repas ses nouveau-nés. Si Ouranos fut neutralisé par son propre fils qui l’émascula au moment d’une étreinte avec Gaïa, Zeus va entreprendre à son tour d’abattre la puissance de Cronos. Courtisant la Titanide Métis, qui devait devenir sa première épouse, il la persuade de faire absorber à son père une boisson émétique. Cronos va ainsi rejeter tous les enfants engloutis6. Zeus retrouve ses sœurs : Hestia, leur aînée, qui restera vierge, Déméter et Héra, qui seront ses épouses successives. Héra restera sa dernière épouse, maintes fois bafouée ; ils s'aimèrent pour la première fois « à l'insu de leurs parents ». Zeus et ses deux frères aînés Poséidon et Hadès se partageront l'univers, après leur cadet qui a pris le Ciel, le premier, la Mer, le second, le monde souterrain.
C’est avec l’aide de ses frères, des enfants de la déesse Styx, son alliée des Enfers, de certains fils de Gaïa délivrés pour l’occasion du Tartare: les trois Géants, les Cyclopes : Argès, l’Éclair, Brontès, le Tonnerre, et Stéropès, la Foudre, tous trois forgerons des armes jupitériennes ; trois des Géants, nés du « sang » de l’émasculation de leur père Ouranos : Briarée et ses deux frères Cottos et Gyès ; appelés les Hécatonchires, « géants aux-cent-bras », ceux-là mêmes qui, après la victoire de Zeus, retiendront éternellement les Titans derrière les portes de bronze dans les ténèbres insondables au-dessous de l’Hadès. Toutes les Titanides et certains Titans, dont Japet et Océan, qui sera le géniteur de tous les dieux et déesses aquatiques, resteront en retrait de cette guerre qui durera 10 années. Zeus, en reléguant les Titans dans les bas-fonds du Panthéon, des créatures frustes et malfaisantes, débute la grande mythologie olympienne et préfigure la maturité de la culture grecque, car Zeus et ses congénères vont vivre désormais intensément à travers des récits imaginatifs, une littérature de haute volée et un goût artistique prodigieux. Les Titans vaincus tomberont dans l’oubli et resteront à jamais sans culte pour les honorer. Il n’est guère de contrées préhelléniques qui ne fassent référence de près ou de loin à un maître-dieu, d’une stature similaire à celle de Zeus.

Zeus, maître de la destinée, est parfois représenté ou décrit avec une balance où s’estime le sort octroyé à chacun. En dépit de ceux qu’il aimerait favoriser, même si les péripéties peuvent en être modifiées, il ne change pas le destin mais le réalise. Il a reçu, au cours du partage du monde, la sphère céleste, la partie la plus considérable, la plus imposante et la plus mystérieuse aux yeux du genre humain. Le Ciel est un poste privilégié : Zeus observe les actions des hommes, peut intervenir et les corriger. Hésiode écrivait : « L’œil de Zeus voit tout, connaît tout ». Ce domaine inaccessible aux hommes va paradoxalement le rapprocher d’eux. Maître d’en haut, ce dieu commande à toute la machinerie atmosphérique. Il est le maître du temps météorologique : orages, tonnerres, pluies, neige, grêles, foudre, bourrasques, trombes, nébulosités… mais aussi les canicules et les sécheresses. Le dieu peut se montrer dans « son mauvais jour » : Zeus Terpichéraunos (qui aime manier la foudre); Zeus Néphélégèrétès (qui accumule les nuages) ; Zeus Maïmaktès (qui souffle la tempête)… Le bien-être de l’humanité dépend de ses volontés, de ses caprices ou de ses colères.

Les montagnes dont le sommet tutoie les nuages et les éclairs vont être le truchement sacré et privilégié entre Zeus et les hommes : l’Olympe principalement (la plus haute : environ 2 900 m), mais aussi le Parnès (en Attique, Zeus Ombrios, le dieu des pluies) ; le Pélion (en Thessalie, Zeus Akraïos, le dieu du sommet) ; le Lykaion (en Arcadie, aujourd’hui : Diaphorti, Zeus Lykaïos)… C’est de ces hauteurs terrestres qu’il descend parfois vers les Hommes et c’est tout naturellement qu’Iris dont l’arc coloré joignait la terre aux cieux fut sa messagère. La vallée de Tempée, creusée par les eaux du Pénée entre l’Olympe et l’Ossa est attribuée au bras puissant de Zeus qui sépara la montagne. Cet événement était fêté pendant les Pélôria (Zeus Pélôrios, tout-puissant) devenue une grande fête de la moisson. La richesse et la fertilité de la terre sont en son pouvoir.
Zeus est tout autant le dieu Chthonios, c’est-à-dire le dieu souterrain, car du ventre de la terre sortent les cultures. On constate une fois de plus l’extrême prépondérance de Zeus : Hadès, son frère, qui en est le dieu légitime est souvent supplanté dans ce rôle. Ce frère mal aimé, essentiellement rattaché aux forces obscures des bas-fonds de la terre, autrement dit le monde des morts, sera craint et ne sera jamais populaire. Pour les moissons : à Athènes, c’est Zeus qu’on célébrait pendant les Bouphonia (sacrifices de bœufs) et les Pandia (fête des plantations) pour s’attirer la faveur de Zeus Épikarpios (dieu qui donne des fruits) et, en automne, on fêtait régulièrement le Zeus Géôrgos (dieu cultivateur). Zeus fut sans doute l’amalgame des multiples divinités de la terre.

Il n’y a pas d’autres dieux qui soient autant invoqués par les Grecs pour le secours et la sauvegarde. À l’esprit des grands capitaines, pas de décisions importantes sans le consulter. On lui sacrifie après un voyage et on l’invoque avant d’entreprendre : Zeus Alexikakos, qui écarte les maux. De nombreux ports ont un temple dédié à Zeus Sôtêr (dieu salvateur). Les Athéniens célèbrent, le dernier jour de l’année, la fête des Disotéria. On l’invoque pour se faire pardonner en offrant des sacrifices à Zeus Meïlikios. Zeus est surtout un dieu purificateur et cela donne lieu à des fêtes importantes à Athènes : les Diasia (fêtes de Zeus, « dios »). En automne, une période de sacrifices d’ovins à Zeus Phratrios durait de 3 à 4 jours, à Athènes et dans les grandes cités : c’étaient les Apaturies (Apatouria) ou fêtes des phratries. Les sacrifices sont en effet un moyen d’atteindre le dieu et d’obtenir la purification et la réconciliation. Tout criminel ne doit pas être puni avant d’être purifié car il s’est souillé aux yeux de Zeus et porte atteinte aux lois divines et non plus aux lois des hommes qui ne réclament que vengeance. Zeus est par nécessité un dieu qui délivre des présages et il se montre attentif aux suppliques (Zeus Hikésios, dieu des suppliants) et, selon Hésiode, le recours suprême des opprimés. Zeus communique ses intentions par des moyens variés : ornithomancie (vol des oiseaux), oniromancie, bruits (les klèdonès), extase, tirage au sort (les Klèroï ; latin : sortes), et nombre de manifestations atmosphériques. Trois principaux sanctuaires lui furent consacrés pour entendre ses oracles.

Zeus est célèbre pour ses innombrables aventures avec des mortel(le)s, des déesses et des nymphes : Danaé, Alcmène, Sémélé, Léto, Europe, Ganymède, etc. Il est le père de nombreux dieux : Arès, Athéna, Dionysos, Hermès, Apollon, Aphrodite et Artémis ; de nombreux héros : Héraclès, Persée, Castor et Pollux, etc. Ces nombreuses infidélités de Zeus à sa troisième femme, Héra, — après Métis et Thémis —, sont la cause de fréquentes disputes entre les divins époux. De plus, la déesse se montrant d'un caractère très vindicatif, elle poursuivait souvent de sa vengeance les maîtresses (Io, Léto, etc.) ou même les enfants (Héraclès) de son mari.

wikipédia


Les relations.


Odìn (Mythes): Odìn et Zeus se respectent mutuellement entre Chef de Panthéons, bien que l'un et l'autre soient sans arrêt en train de se lancer mutuellement des pics.
Hunab Ku (Mythes): Zeus déteste Hunab Ku et son attitude supérieure, il n'apprécie pas qu'un autre Païen s'auto-proclame Chef d'Absolument tout.
Ganesh (Mythes): Le Dieu éléphant est sympathique à Zeus simplement parce que ces deux-là se comprennent et s'amusent à observer les autres Païens s'entre-attaquer sans raison et sans cesse.
Anubis (Mythes): Le Chacal est tout aussi prétentieux que l'est Hadès, ce qui déplaît fortement à Zeus, ainsi, il ne l'apprécie pas.
Mithra (Mythes): Ce Païen est aux yeux de Zeus un futur Monothéiste, il le déteste pour sa prétention à croire qu'il est le successeur légitime du Chef des Anges.
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MessageSujet: Re: Mythes - Les Dieux Païens   Mythes - Les Dieux Païens EmptyMar 12 Mar - 9:29



Odin

♦ Sage.
♦ Impartial.
♦ Fort.
♦ Paternel.


Je me nomme Odin, le Père de toutes choses et j'ai l'âge des univers. Je suis né en tout temps et en tout lieux. Je suis l'époux de Frigg, Jörd, Gríðr et Rind. Je suis un Dieu Païen, j'appartiens donc au groupe des Mythes. On me confond souvent avec Hugh Laurie, mais demandez plutôt à TBE.
♦ Guerrier.
♦ Furieux.
♦ Vieux.
♦ Borgne.


L'histoire.

Odin (du vieux norrois Óðinn) est le dieu principal de la mythologie nordique. L'étymologie de son nom fait référence à Ód, et signifie « fureur », aux côtés d'« esprit » et de « poésie », d'où l'allemand Wut (fureur) et le néerlandais woede de même sens. C'est un dieu polymorphe. Son rôle, comme pour la plupart des dieux nordiques, est complexe, étant donné que ses fonctions sont multiples : il est le dieu des morts, de la victoire et du savoir. Dans une moindre mesure, il est également considéré comme le patron de la magie, de la poésie, des prophéties, de la guerre et de la chasse. Il est considéré comme étant le principal membre des Ases. Le lieu de résidence d'Odin est le palais de Valaskjálf, situé en Ásgard, où se trouve également son trône, appelé Hlidskjalf, d'où il peut observer les neuf mondes de la cosmologie nordique. Il possède plusieurs objets fabuleux, sa lance Gungnir et son anneau Draupnir, et monte son cheval à huit jambes nommé Sleipnir. Fils de Bor et de la géante Bestla, il a pour frères Vili et Vé. Son épouse est Frigg ; il a de nombreux enfants, dont les dieux Baldr, Thor et Vidar. Il se déplace sur un cheval à huit jambes nommé Sleipnir et il est armé de sa lance Gungnir. Lorsqu'il est dans son palais, la Valhöll, les deux corbeaux Hugin (la pensée) et Munin (la mémoire) lui racontent à l'oreille ce qu'ils ont vu des neuf mondes. De plus, deux loups, Geri et Freki, restent à ses pieds. Son trône, Hlidskjalf, lui permet de voir tout ce qui existe dans les neuf mondes. Il possédait l'anneau Draupnir, un anneau qui se multipliait par neuf tous les neuf jours ; mais il le posa sur le bûcher funéraire de son fils Baldur qui le donnera à Hermodr plus tard.

Les rôles d'Odin sont complexes. Il est entre autres le dieu des morts ayant fonctions de psychopompe et de nécromancien. D'ailleurs, il accueille la moitié des âmes des guerriers tombés au combat au Valhöll (ou Valhalla); Freyja accueillant la seconde moitié. Ceux-ci combattent entre eux le jour pour se préparer au Ragnarök et sont conviés la nuit au « Banquet d'Odin ». De plus, sous le nom de Handagud, Odin est particulièrement le dieu des pendus. Il est aussi le patron des scaldes, poètes scandinaves, auxquels il a apporté l'élixir de poésie. Il possède aussi des caractéristiques des shamans qui se reflètent dans le mythe de sa monture Sleipnir. Sans être directement dieu de la guerre, Odin est néanmoins le dieu de la victoire. Il l'offre à ses protégés par quelque moyen que ce soit, qu'il s'agisse de valeur au combat, de chance ou, plus particulièrement, de ruse et de fourberie. Odin conférait la victoire en inspirant l'intelligence et la stratégie, bien plus qu'en activant l'ardeur des guerriers. C'est donc un dieu sage, courageux et généreux, mais craint, et qui possède des traits sombres et peut se montrer fourbe et sévère. Odin possède de nombreuses hypostases dont certaines n'ont peut-être pas encore été identifiées.

wikipédia


Les relations.


Zeus (Mythes): Odìn et Zeus se respectent mutuellement entre Chef de Panthéons, bien que l'un et l'autre soient sans arrêt en train de se lancer mutuellement des pics.
Anubis (Mythes): Odìn ne perçoit pas l'utilité de la fonction d'Anubis car il ne conçoit pas qu'un mort soit accompagné pour rejoindre l'autre monde. Il voit donc dans le chacal un Dieu obsolète.
Hunab Ku (Mythes): Odìn voit en Hunab Ku un usurpateur et un rival prétentieux qui ose clamer qu'il est le créateur de toutes choses. Alors qu'Odìn est persuadé que c'est lui qui a créé.
Mithra (Mythes): à l’œil d'Odìn, Mithra est un petit singe amusant qui essaie de s'élever là où les Grands siègent. Il perçoit ce Païens comme rien de moins qu'un gamin arrogant et prétentieux qui cherche à imiter les "grands garçons".
Ganesh (Mythes): Ganesh est pour Odìn un dieu "femmelette" puisqu'il n'est ni guerrier, ni vengeur, ni en rapport avec la destruction ou le combat. Il perçoit ce Dieu comme un bibliothécaire ennuyeux qui n'aurait pas sa place dans les panthéons.
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Dernière édition par Dieu le Sam 9 Nov - 21:27, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Mythes - Les Dieux Païens   Mythes - Les Dieux Païens EmptyMar 12 Mar - 9:29



Anubis

♦ Puissant.
♦ Épaulé.
♦ Déterminé.
♦ Confiant.


Je me nomme Anubis le maître des nécropoles et je n'ai pas d'âge. Je suis né d'Hésat la vache céleste. Je suis un Dieu Païen, j'appartiens donc au groupe des Mythes. On me confond souvent avec Oded Fehr, mais demandez plutôt à TBE.
♦ Pessimiste.
♦ Possessif.
♦ Narcissique.
♦ Prétentieux.


L'histoire.

Anubis est un dieu funéraire de l'Égypte antique, maître des nécropoles et patron des embaumeurs, représenté comme un grand canidé noir couché sur son ventre (sans doute un chacal ou un chien sauvage) ou comme un homme à tête de canidé. La plupart des dieux funéraires égyptiens ne sont vénérés qu'au plan local. La zone d'influence de ces divinités mineures ne dépasse pas les frontières de la ville ou de la province d'origine. Seuls quelques rares dieux et déesses, très vénérés dans leurs régions, ont été hissés au plan national ; tel est le cas d'Oupouaout d'Assiout et d'Anubis du nome cynopolitain. Ce dernier acquiert très tôt une large influence nationale. Dès les débuts de l'Ancien Empire, Anubis est invoqué dans les formules d'offrandes funéraires des nécropoles situées entre Memphis et Éléphantine. Certaines de ses épithètes le relie plus particulièrement aux grandes nécropoles du pays. Elles font de lui le seigneur de Ro-Sétaou, un cimetière situé près de Gizeh, et le seigneur de Ro-Qereret, la nécropole de la ville d'Assiout. Anubis est aussi lié à Sepa, une ville non localisée avec certitude mais située dans les environs de Memphis. Anubis exerce aussi sa puissance sur la carrière de Tourah d'où ont été extraits les blocs de calcaire ayant servi à l'édification des pyramides de Gizeh et de Saqqarah. Par comparaison, sa parèdre Anupet reste, à toutes les époques, exclusivement cantonnée à son rôle de déesse tutélaire du XVIIe nome de Haute-Égypte.

Avant le Moyen Empire égyptien, les preuves de l'existence de temples consacrés à Anubis sont indirectes. Une inscription de la tombe de Tefib révèle ainsi la présence d'un lieu de culte à Assiout et plusieurs stèles démontrent l'existence d'un culte florissant à El-Lahoun dans le Fayoum. Vers le début de la VIe dynastie, dans une variante de la traditionnelle énumération des bonnes actions accomplies durant la vie terrestre, le gouverneur Henqou du XIIe nome de Haute-Égypte déclare vénérer le dieu chacal d'après une inscription de sa tombe de Deir el-Gebraoui : « J'ai donné du pain à l'affamé dans le nome de la Montagne de la Vipère. J'ai donné des vêtements à celui qui était nu. (…) J'ai satisfait les chacals de la montagne et les oiseaux de proie du ciel avec de la viande de mouton et de chèvre » Cette affirmation funéraire, sans mentionner un temple, suggère néanmoins la présence d'une activité rituelle en lien avec les chacals dans cette région. Dès les époques les plus reculées, la fonction d'Anubis est d'approvisionner les défunts dans le cadre de ses activités de divinité funéraire. Le dieu est le neb qereset, c'est-à-dire le « maître de la sépulture » ou le « maître de l'enterrement ». Les formules d'offrandes funéraires, les épithètes et les actions d'Anubis qui apparaissent dans les textes funéraires attestent clairement ce rôle. Sous l'Ancien Empire, les défunts lui demandent très fréquemment d'assurer de bons enterrements dans le désert occidental (semyt imentet) afin qu'ils puissent devenir des imâkhou (esprits glorifiés, morts bienheureux), c'est-à-dire des ancêtres aptes à bénéficier d'un culte funéraire régulier et pérenne, financé par des dotations royales et / ou privées. Dans tous les corpus de textes funéraires, des Textes des Pyramides au Livre des Morts, en passant par les Textes des sarcophages, apparaissent des souhaits où il est exigé à Anubis de garantir des offrandes alimentaires en abondance.

wikipédia


Les relations.


Zeus (Mythes): Le Chacal est tout aussi prétentieux que l'est Hadès, ce qui déplaît fortement à Zeus, ainsi, il ne l'apprécie pas.
Odìn (Mythes): Odìn ne perçoit pas l'utilité de la fonction d'Anubis car il ne conçoit pas qu'un mort soit accompagné pour rejoindre l'autre monde. Il voit donc dans le chacal un Dieu obsolète.
Ganesh (mythes): Anubis apprécie le Dieu Elephant puisque celui-ci lui rappelle ses frères Horus et Thot, le Chacal apprécie l'éléphant suffisamment pour le considérer digne de son amitié; mais sans plus.
Hunab Ku (Mythes): Aux yeux du Chacal, Hunab Ku est un imposteur comme l'était Amon-Rê, il le hait et voit en lui un danger certain pour les autres Panthéons en plus du sien.
Mithra (Mythes): Mithra le Dieu Menteur, comme le surnomme Anubis, ne vaut rien à ses yeux. Il se prétend dieu unique mais son histoire est celle d'un dieu qui sacrifia un taureau sacré pour un autre dieu, un dieu soleil. Il le voit comme un serviteur d'Amon-Rê.
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MessageSujet: Re: Mythes - Les Dieux Païens   Mythes - Les Dieux Païens EmptyMar 12 Mar - 9:29



Ganesh

♦ Savant.
♦ Aimant.
♦ Fort.
♦ Charismatique.


Je me nomme Ganesh, le patron des sages et j'ai l'âge du savoir. Je suis né  de Shiva et Pārvatī au sud de l'Inde. Je suis l’époux de Siddhi, Buddhi et Riddhî. Je suis un Dieu Païen, j'appartiens donc au groupe des Mythes. On me confond souvent avec Guillaume Canet, mais demandez plutôt à TBE.
♦ Narcissique.
♦ Furieux.
♦ Inconstant.
♦ Révolté.


L'histoire.

Dans l’hindouisme, il est Ganesh, Ganesha, Vinayaka, Ganapati (« le chef -Pati- des troupes de divinités -Ganas- » ou mieux « le seigneur des catégories ») ou Pillayar dans le sud de l’Inde. Il est le dieu de la sagesse, de l’intelligence, de l’éducation et de la prudence, le patron des écoles et des travailleurs du savoir. C’est le dieu qui lève les obstacles des illusions et de l'ignorance. Traditionnellement représenté avec un gros corps d'enfant de couleur rouge possédant généralement quatre bras et une tête d’éléphant à une seule défense, son vâhana ou véhicule est un rat ou une souris, Mûshika. Ce dernier symbolise parfois le dieu à lui seul, comme peut le faire le taureau blanc Nandi pour son père Shiva. Les deux se complètent, l’éléphant massif, puissant et réfléchi, le rat petit, mobile et malicieux, ont ainsi tous les atouts nécessaires pour résoudre les problèmes du monde. Dans le sud de l’Inde et au Sri Lanka, Ganesh tient parfois un fruit dans sa main, une mangue ou un citron. On connaît, particulièrement au Népal, des représentations de Ganesh à plus de quatre bras et plus d’une tête, souvent reliées au tantrisme.
Ganesh est le plus souvent assis, sur un trône de lotus, une jambe repliée, l'autre jambe pendante, dans une posture décontractée. Mais il peut être représenté dansant : n’oublions pas que son père Shiva est Nataraja, le roi de la danse. On le trouve aussi parfois allongé sur un sofa, un livre ouvert devant lui et il écrit une histoire.

Ganesh est un des symboles de l’union entre le macrocosme et le microcosme, le divin et l'humain. Cette symbolique se retrouve dans les tailles respectives de Ganesh, l’éléphant, le plus grand animal terrestre, et son vâhana, le rat, un très petit mammifère. Dans sa représentation, la partie inférieure est la partie humaine et la partie supérieure, la tête, est la partie éléphantine et divine. Il est un homme mais son esprit est à l’image du cosmos, il peut donc, par la puissance de la pensée, écarter les obstacles de l’ignorance et comprendre la nature de l’univers. Il porte parfois un cobra royal en cordon ou sous forme de ceinture ou posé sur la tête, en symbole de protection. Les histoires qui expliquent comment Ganesh obtient sa tête sont nombreuses et diverses. Souvent dérivées du Shiva Purâna, elles racontent que Shiva, rentrant d’une longue période de méditation dans l’Himalaya, trouva un jeune homme barrant la porte de sa maison pour l’empêcher d’entrer tandis que Pârvatî prenait son bain. Ce garçon était le fils que la (demi-)déesse s’était conçue, au moyen de la poussière et des onguents qu’elle avait raclés de sur sa peau, pour lui tenir compagnie durant sa solitude. Furieux de se voir interdire l’entrée de sa maison, Shiva sortit son épée et coupa la tête de son « fils » qui roula au loin et devint introuvable. S’apercevant de cela, Pârvatî lui raconta toute l’histoire et, inconsolable, exigea qu’il redonne vie à son fils sur le champ. Shiva promit de remplacer la tête par celle de la première créature qui se présenterait, plus exactement par la tête du premier "enfant" hors de la vue de sa mère. Le premier être rencontré correspondant à cette description fut un éléphanteau dont la mère dormait en lui tournant le dos...

Par cet acte, et bien que Ganesh ait été conçu sans lui, Shiva assume sa paternité. Cet épisode aurait, selon certains, une symbolique très précise : le fait qu'il faille "trancher la tête" pour accéder à la "shakti", c'est-à-dire que l'intellect doit "se retirer" pour faire place à l'énergie divine. Ce mythe est également très significatif sur la notion de maternité. Selon une légende tamoule de Kânchîpuram, la tête d’éléphant serait due au fait que lors des ébats ayant conduit à la conception de l’enfant divin, Shiva et Uma (nom tamoul de Pârvatî) avaient adopté la forme d’un couple d’éléphants. Dans une autre histoire, Pârvatî présenta leur fils à Shiva qui ouvrit son troisième œil et transforma sa tête en cendres. Pârvatî (ou Brahmâ) demanda alors de remplacer cette tête et, comme un éléphant vint à passer... Pour ce qui est de la défense cassée, on raconte qu’une nuit Ganesh tomba de son rat et se cassa une défense. En voyant cela la lune éclata de rire. Ganesh lui lança alors la défense brisée, et depuis ce jour lors des processions en l’honneur de Ganesh on évite de regarder la lune. D'autres versions rapportent que la tête d'éléphant substituée à celle de l'enfant avait déjà une défense brisée.

wikipédia


Les relations.


Zeus (Mythes):  Le Dieu éléphant est sympathique à Zeus simplement parce que ces deux-là se comprennent et s'amusent à observer les autres Païens s'entre-attaquer sans raison et sans cesse.
Odìn (mythes): Quand bien même Odìn ne le respecte pas vraiment, Ganesh considère le dieu borgne comme quelqu'un de fiable et digne de confiance.
Anubis (Mythes):Anubis apprécie le Dieu Elephant puisque celui-ci lui rappelle ses frères Horus et Thot, le Chacal apprécie l'éléphant suffisamment pour le considérer digne de son amitié; mais sans plus.
Hunab Ku (Mythes): Quand bien même Ganesh connaît, de par son statut de Dieu Hindi, les secrets de l'univers, il respecte les croyances d'Hunab Ku et ne se mettra pas sur sa route pour entamer ce qu'il veut entamer. Le Dieu Éléphant sait.
Mithra (Mythes): Ganesh sait à quel point les oeuvres de Mithra sont contestées, et il se tient comme l'un des rares Païens à l'épauler et même à l'apprécier. Les deux divins sont amis.
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MessageSujet: Re: Mythes - Les Dieux Païens   Mythes - Les Dieux Païens EmptyMar 12 Mar - 9:29



Mithra

♦ Déterminé.
♦ Sûr de lui.
♦ Cultivé.
♦ Courageux.


Je me nomme Mithra et je suis sans-âge. Je me suis engendré, par la pierre. Je suis mon propre époux. Je suis un Dieu Païen, j'appartiens donc au groupe des Mythes. On me confond souvent avec William Moseley, mais demandez plutôt à TBE.
♦ Barbare.
♦ Violent.
♦ Déloyal.
♦ Prétentieux.


L'histoire.

Selon un récit reconstruit à partir des images et de quelques témoignages écrits, le dieu Mithra nait d'une pierre (la petra generatrix) près d'une source sacrée, sous un arbre lui aussi sacré. Au moment de sa naissance il porte le bonnet phrygien, une torche et un couteau. Adoré par les pasteurs dès sa naissance, il boit l'eau de la source sacrée. Avec son couteau, il coupe le fruit de l'arbre sacré, et avec les feuilles de cet arbre se confectionne des vêtements.
Il rencontre le taureau primordial quand celui-ci paissait dans les montagnes. Il le saisit par les cornes et le monte, mais, dans son galop sauvage, la bête le fit tomber. Cependant, Mithra continua à s'accrocher aux cornes de l'animal, et le taureau le traîna pendant longtemps, jusqu'à ce que l'animal n'en puisse plus. Le dieu l'attacha alors par ses pattes arrière, et le chargea sur ses épaules. Ce voyage de Mithra avec le taureau sur ses épaules se nomme transitus.
Quand Mithra arriva dans la grotte, un corbeau envoyé par le Soleil lui annonça qu'il devait faire un sacrifice, et le dieu, soumettant le taureau, lui enfonce le couteau dans le flanc. De la colonne vertébrale du taureau sort du blé, et de son sang coule du vin. Sa semence, recueillie par la lune, produit des animaux utiles aux hommes.

wikipédia


Les relations.


Prénom Nom (groupe): Ganesh sait à quel point les oeuvres de Mithra sont contestées, et il se tient comme l'un des rares Païens à l'épauler et même à l'apprécier. Les deux divins sont amis.
Anubis (Mythes): Mithra le Dieu Menteur, comme le surnomme Anubis, ne vaut rien à ses yeux. Il se prétend dieu unique mais son histoire est celle d'un dieu qui sacrifia un taureau sacré pour un autre dieu, un dieu soleil. Il le voit comme un serviteur d'Amon-Rê.
Odìn (Mythes): à l’œil d'Odìn, Mithra est un petit singe amusant qui essaie de s'élever là où les Grands siègent. Il perçoit ce Païens comme rien de moins qu'un gamin arrogant et prétentieux qui cherche à imiter les "grands garçons".
Zeus (Mythes): Ce Païen est aux yeux de Zeus un futur Monothéiste, il le déteste pour sa prétention à croire qu'il est le successeur légitime du Chef des Anges.
Hunab Ku (Mythes): Les Deux Païens sont rivaux, chacun croit qu'il détient la légitimité de la nouvelle Genèse, celle qui suivra la destruction de ce monde. C'est une source de conflit intarissable entre eux.
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MessageSujet: Re: Mythes - Les Dieux Païens   Mythes - Les Dieux Païens EmptyMar 12 Mar - 9:29



Hunab Ku

♦ Indulgent.
♦ Patient.
♦ Convaincant.
♦ Convaincu.


Je me nomme Hunab Ku, le créateur et j'ai l'âge des univers précédents. Je ne suis pas encore né, mais j'existe. Je suis un Dieu Païen, j'appartiens donc au groupe des Mythes. On me confond souvent avec Shannon Leto, mais demandez plutôt à TBE.
♦ Insupportable.
♦ Prétentieux.
♦ Colérique.
♦ Violent.


L'histoire.

Hunab Ku est le dieu créateur des Mayas qui rétablit le monde après les trois déluges qui se déversèrent de la bouche du serpent du ciel. Le premier monde fut habité par des nains qui construisirent les cités, le second par une race inconnue : les Dzolobs qualifiés de transgresseurs et finalement le troisième monde fut habité par les Mayas eux mêmes. Pourtant, il pense que le troisième monde n'est pas encore arrivé. Il observe cette Création-ci et continue de se répéter qu'il arpente les terres des Dzolobs. Ses yeux observent tandis qu'il remarque les espèces s'entre-tuer et se déchirer. Il considère d'ailleurs que les nains qui eurent construits les cités n'étaient en fait que les hommes d'il y a très longtemps. Il pense qu'après une apocalypse viendra le temps pour qu'il fasse naître le troisième monde, et ainsi proclamer le règne Maya.


Les relations.


Mithra (mythes): Les Deux Païens sont rivaux, chacun croit qu'il détient la légitimité de la nouvelle Genèse, celle qui suivra la destruction de ce monde. C'est une source de conflit intarissable entre eux.
Ganesh (mythes): Quand bien même Ganesh connaît, de par son statut de Dieu Hindi, les secrets de l'univers, il respecte les croyances d'Hunab Ku et ne se mettra pas sur sa route pour entamer ce qu'il veut entamer. Le Dieu Éléphant sait.
Anubis (mythes): Aux yeux du Chacal, Hunab Ku est un imposteur comme l'était Amon-Rê, il le hait et voit en lui un danger certain pour les autres Panthéons en plus du sien.
Odìn (Mythes): Odìn voit en Hunab Ku un usurpateur et un rival prétentieux qui ose clamer qu'il est le créateur de toutes choses. Alors qu'Odìn est persuadé que c'est lui qui a créé.
Zeus (mythes): Zeus déteste Hunab Ku et son attitude supérieure, il n'apprécie pas qu'un autre Païen s'auto-proclame Chef d'Absolument tout.
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